Selon un article du
Monde du 16 novembre 2012 "la ministre du logement, Cécile Duflot, a présenté mercredi le plan hivernal destiné à
"mobiliser des places d'hébergement d'urgence supplémentaires sans attendre l'hiver et la baisse des températures". Un
rapport de la Cour des comptes estimait en 2011 à 150 000 le nombre de
personnes sans domicile fixe en France. Près de 40 000 d'entre elles
– dont plus de la moitié à Paris –
errent entre la rue et les centres d'hébergement d'urgence. Il existe pourtant des dizaines d'immeubles vides ou sous-occupés à Paris.
Couvents, abbayes, monastères, ...
Le Canard enchaîné, dans
son édition du 14 novembre, dresse la liste de tous les biens
immobiliers de la capitale, plus d'une centaine au total, appartenant à
des communautés religieuses et
"le plus souvent aux trois quarts vides." Alors que
"certains
ordres ont transformé une partie de leurs murs en hôpital, en maison de
retraite ou en foyer [...] d'autres ont cédé au démon de la cupidité et
ont préféré vendre une partie de leurs terrains pour construire des
résidences de luxe", relate le journal satirique, qui s'est lancé dans un pèlerinage pas très catholique.
Rue Gay-Lussac, dans le 5
e arrondissement,
les sœurs de l'Adoration
ne sont plus que quatre, mais elles habitent toujours une vaste bâtisse
et possèdent deux immeubles loués à des religieuses de passage à Paris.
Dans la
rue Notre-Dame-des-Champs, dans le 6
e arrondissement, la poignée de
sœurs du Bon-Secours
possèdent encore près d'un demi-hectare en plein cœur d'un des
quartiers les plus huppés de Paris. Leur couvent, placé sous
surveillance électronique, accueille uniquement
l'évêque des armées. Un peu plus loin,
rue du Regard,
l'ancien séminaire Saint-Sulpice héberge une vingtaine d'étudiants et des curés ou des prélats de passage dans la capitale. Questionné par le
Canard enchaîné sur l'éventualité d'accueillir des personnes sans abri, un responsable écarte l'hypothèse :
"Nous n'avons pas d'ascenseur et très peu de chambres avec salle de bains."
Quelques sœurs et pères des
Sacrés-Cœurs-de-Jésus-et-de-Marie-et-de-l'Adoration se partagent,
rue de Picpus, dans le 12
e arrondissement, 2,3 hectares avec sept nonnes et une vingtaine d'étudiants, alors que
"d'imposants bâtiments, quasi abandonnés, bordent la rue de Picpus et occupent l'intérieur du couvent." Rue Méchain (14
e
arrondissement), un monastère, s'étendant sur 1,6 hectare, à deux pas
de l'Observatoire, accueille une trentaine de religieuses, les sœurs de
Saint-Joseph-de-Cluny, qui louent vingt chambres à des catholiques pour des
"séjours limités dans le temps."
Avenue Denfert-Rochereau (14
e arrondissement),
les religieuses de l'ordre de la Visitation
occupent quant à elles 2,2 hectares, dont une partie des locaux a été
louée à une faculté catholique. Les estudiantines se sont réservé une
bâtisse pour leur usage exclusif. Dans le même arrondissement, quinze
capucins de la rue Boissonade et
dix-huit franciscains de la rue Marie-Rose "sont cantonnés dans des immeubles assez vastes pour héberger des régiments de gardes suisses", note
Le Canard enchaîné.
Dans le 16
e arrondissement,
rue de l'Assomption,
une dizaine de religieuses de l'Assomption occupe 1,1 hectare. Les
responsables assurent que les locaux doivent rester libres pour loger
des sœurs en provenance du monde entier. Comme dans un véritable hôtel,
avec fiche de tarifs téléchargeable,
une chambre simple (avec douche, WC et... wifi !) se loue 60 euros pour
une ou deux nuits, et la maison d'accueil est mise à disposition pour
des... séminaires et des formations. Enfin,
avenue de Villiers, dans le 17
e arrondissement, la trentaine de religieuses de
l'ordre des Franciscaines-Réparatrices-de Jésus-Hostie habitent
"dans plusieurs milliers de mètres carrés désespérément vides".
Le Canard enchaîné évoque enfin le terrain de 1 hectare des petites sœurs des pauvres situé
Boulevard Murat, à deux pas du Parc des Princes, dont le bâtiment reste totalement inoccupé.
"Les quelques travailleurs immigrés qui campaient sur place ont été priés [...] de reprendre leur baluchon", explique le
Canard enchaîné.
"Depuis
une dizaine d'années, les sœurs souhaitent vendre leur propriété. Mais
leur gourmandise a fait traîner les discussions en longueur. En 2006,
une négociation avait failli aboutir avec le promoteur Cogédim et la
Mairie de Paris, qui voulait construire sur le site des HLM [...] mais
c'était sans compter sur les paroissiens du quartier, qui refusent les
logements sociaux", et qui, avec de multiples recours en justice, ont fait échouer le projet.
Plus étonnant, le
Canard enchaîné indique que l'industriel Vincent Bolloré,
"qui
réside à deux pas, dans la prestigieuse villa Montmorency, a pris la
tête de cette étrange croisade. Aujourd'hui, il propose aux petites
sœurs de reprendre leur propriété, mais en location, pour éviter le
dépôt d'un permis de construire et, donc, l'obligation de prévoir une
tranche de HLM".
Aucune organisation religieuse ne possède
l’immense patrimoine de l’organisation catholique en France et dans le
monde. La cupidité de cette organisation n’est plus a démontrer, voyez
lourdes:
A LOURDES IL N’Y A JAMAIS EU D’APPARITION
Tous les travaux effectués le prouvent.
Chercheurs, Médecins, Journalistes et Ecrivains ont tous aboutis à la
même conclusion. Lourdes se présente comme un vaste racket magique entre
les mains de la secte romaine avide de richesse et de pouvoirs. Eau de
Lourdes, croix de Lourdes. Tout y est présenté avec le label magique du
miracle. Lourdes est le grand bazar de la secte romaine.
L’entreprise se double d’une usine a entretenir la superstition.
Voici l’exemple rapporté par le journal La croix du Vatican le 6/04/
1967: « 2300 aveugles en pèlerinage à Lourdes »; Il n’y eu aucun
miracle.
Bernadette Soubirou affirme t-on est sotte, est peu dire: Elle ne comprend rien à ce qu’on essaie de lui expliquer.
A Lourdes tout le monde jugeait Bernadette vulgaire et retardée. Si son
Père alcoolique n’eut soufflé les apparitions à Bernadette, apparitions
dont elle a toujours été la seule a voir, elle n’aurait joué à cette
grotesque comédie.
Elle t-elle responsable ? Oh non, car c’est la secte romaine connue dans
le monde entier pour ses tromperies qui entretient la superstition,
sans cela Lourdes n’aurait plus aucune influence sur ses pauvres gens
qui viennent ici pratiquer l’idolâtrie que le deuxième commandement de
Dieu réprouve; Mais il est vrai que ce commandement comme d’autres, la
religion catholique n’en tient pas compte. S’il existe une secte qui
contredit de façon flagrante la vérité Biblique, c’est bien la secte
catholique.
C’est une religion qui emmène tous ses adeptes en enfer, en les trompant sur le message Biblique.
Autres exemples de miracles a Lourdes le sept juillet 1963 Monseigneur
(c’est comme cela que se font appeler les gourous de la secte) Donald
Campbell en pèlerinage, meurt à Lourdes !
Un ingénieur Belge atteint de paralysie agitante, décida en accord
avec son curé de se rendre à Lourdes. Il fût plongé dans la piscine et,
ayant été pris d’un violent frisson, il dût revenir précipitamment chez
lui ou l’on reconnut qu’il était atteint d’une pneumonie aiguë, dont il
mourut trois jours après sa rentrée à son domicile. Cette pneumonie ne
fût naturellement pas constatée par le bureau médical de Lourdes.
C’EST UNE LOURDE ESCROQUERIE !
Couvents, abbayes, monastères, ... Le Canard enchaîné, dans son édition du 14 novembre, dresse la liste de tous les biens immobiliers de la capitale, plus d'une centaine au total, appartenant à des communautés religieuses et "le plus souvent aux trois quarts vides." Alors que "certains ordres ont transformé une partie de leurs murs en hôpital, en maison de retraite ou en foyer [...] d'autres ont cédé au démon de la cupidité et ont préféré vendre une partie de leurs terrains pour construire des résidences de luxe", relate le journal satirique, qui s'est lancé dans un pèlerinage pas très catholique.
Rue Gay-Lussac, dans le 5e arrondissement, les sœurs de l'Adoration ne sont plus que quatre, mais elles habitent toujours une vaste bâtisse et possèdent deux immeubles loués à des religieuses de passage à Paris. Dans la rue Notre-Dame-des-Champs, dans le 6e arrondissement, la poignée de sœurs du Bon-Secours possèdent encore près d'un demi-hectare en plein cœur d'un des quartiers les plus huppés de Paris. Leur couvent, placé sous surveillance électronique, accueille uniquement l'évêque des armées. Un peu plus loin, rue du Regard, l'ancien séminaire Saint-Sulpice héberge une vingtaine d'étudiants et des curés ou des prélats de passage dans la capitale. Questionné par le Canard enchaîné sur l'éventualité d'accueillir des personnes sans abri, un responsable écarte l'hypothèse : "Nous n'avons pas d'ascenseur et très peu de chambres avec salle de bains."
Quelques sœurs et pères des Sacrés-Cœurs-de-Jésus-et-de-Marie-et-de-l'Adoration se partagent, rue de Picpus, dans le 12e arrondissement, 2,3 hectares avec sept nonnes et une vingtaine d'étudiants, alors que "d'imposants bâtiments, quasi abandonnés, bordent la rue de Picpus et occupent l'intérieur du couvent." Rue Méchain (14e arrondissement), un monastère, s'étendant sur 1,6 hectare, à deux pas de l'Observatoire, accueille une trentaine de religieuses, les sœurs de Saint-Joseph-de-Cluny, qui louent vingt chambres à des catholiques pour des "séjours limités dans le temps."
Avenue Denfert-Rochereau (14e arrondissement), les religieuses de l'ordre de la Visitation occupent quant à elles 2,2 hectares, dont une partie des locaux a été louée à une faculté catholique. Les estudiantines se sont réservé une bâtisse pour leur usage exclusif. Dans le même arrondissement, quinze capucins de la rue Boissonade et dix-huit franciscains de la rue Marie-Rose "sont cantonnés dans des immeubles assez vastes pour héberger des régiments de gardes suisses", note Le Canard enchaîné.
Dans le 16e arrondissement, rue de l'Assomption, une dizaine de religieuses de l'Assomption occupe 1,1 hectare. Les responsables assurent que les locaux doivent rester libres pour loger des sœurs en provenance du monde entier. Comme dans un véritable hôtel, avec fiche de tarifs téléchargeable, une chambre simple (avec douche, WC et... wifi !) se loue 60 euros pour une ou deux nuits, et la maison d'accueil est mise à disposition pour des... séminaires et des formations. Enfin, avenue de Villiers, dans le 17e arrondissement, la trentaine de religieuses de l'ordre des Franciscaines-Réparatrices-de Jésus-Hostie habitent "dans plusieurs milliers de mètres carrés désespérément vides".
Le Canard enchaîné évoque enfin le terrain de 1 hectare des petites sœurs des pauvres situé Boulevard Murat, à deux pas du Parc des Princes, dont le bâtiment reste totalement inoccupé. "Les quelques travailleurs immigrés qui campaient sur place ont été priés [...] de reprendre leur baluchon", explique le Canard enchaîné. "Depuis une dizaine d'années, les sœurs souhaitent vendre leur propriété. Mais leur gourmandise a fait traîner les discussions en longueur. En 2006, une négociation avait failli aboutir avec le promoteur Cogédim et la Mairie de Paris, qui voulait construire sur le site des HLM [...] mais c'était sans compter sur les paroissiens du quartier, qui refusent les logements sociaux", et qui, avec de multiples recours en justice, ont fait échouer le projet.
Plus étonnant, le Canard enchaîné indique que l'industriel Vincent Bolloré, "qui réside à deux pas, dans la prestigieuse villa Montmorency, a pris la tête de cette étrange croisade. Aujourd'hui, il propose aux petites sœurs de reprendre leur propriété, mais en location, pour éviter le dépôt d'un permis de construire et, donc, l'obligation de prévoir une tranche de HLM".
Aucune organisation religieuse ne possède l’immense patrimoine de l’organisation catholique en France et dans le monde. La cupidité de cette organisation n’est plus a démontrer, voyez lourdes:
A LOURDES IL N’Y A JAMAIS EU D’APPARITION
Tous les travaux effectués le prouvent.
Chercheurs, Médecins, Journalistes et Ecrivains ont tous aboutis à la même conclusion. Lourdes se présente comme un vaste racket magique entre les mains de la secte romaine avide de richesse et de pouvoirs. Eau de Lourdes, croix de Lourdes. Tout y est présenté avec le label magique du miracle. Lourdes est le grand bazar de la secte romaine.
L’entreprise se double d’une usine a entretenir la superstition.
Voici l’exemple rapporté par le journal La croix du Vatican le 6/04/ 1967: « 2300 aveugles en pèlerinage à Lourdes »; Il n’y eu aucun miracle.
Bernadette Soubirou affirme t-on est sotte, est peu dire: Elle ne comprend rien à ce qu’on essaie de lui expliquer.
A Lourdes tout le monde jugeait Bernadette vulgaire et retardée. Si son Père alcoolique n’eut soufflé les apparitions à Bernadette, apparitions dont elle a toujours été la seule a voir, elle n’aurait joué à cette grotesque comédie.
Elle t-elle responsable ? Oh non, car c’est la secte romaine connue dans le monde entier pour ses tromperies qui entretient la superstition, sans cela Lourdes n’aurait plus aucune influence sur ses pauvres gens qui viennent ici pratiquer l’idolâtrie que le deuxième commandement de Dieu réprouve; Mais il est vrai que ce commandement comme d’autres, la religion catholique n’en tient pas compte. S’il existe une secte qui contredit de façon flagrante la vérité Biblique, c’est bien la secte catholique.
C’est une religion qui emmène tous ses adeptes en enfer, en les trompant sur le message Biblique.
Autres exemples de miracles a Lourdes le sept juillet 1963 Monseigneur (c’est comme cela que se font appeler les gourous de la secte) Donald Campbell en pèlerinage, meurt à Lourdes !
Un ingénieur Belge atteint de paralysie agitante, décida en accord avec son curé de se rendre à Lourdes. Il fût plongé dans la piscine et, ayant été pris d’un violent frisson, il dût revenir précipitamment chez lui ou l’on reconnut qu’il était atteint d’une pneumonie aiguë, dont il mourut trois jours après sa rentrée à son domicile. Cette pneumonie ne fût naturellement pas constatée par le bureau médical de Lourdes.
C’EST UNE LOURDE ESCROQUERIE !