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3 décembre 2012

L'insolente richesse du patrimoine de l'Eglise en question face aux sans-abris

 Selon un article du Monde du 16 novembre 2012 "la ministre du logement, Cécile Duflot, a présenté mercredi le plan hivernal destiné à "mobiliser des places d'hébergement d'urgence supplémentaires sans attendre l'hiver et la baisse des températures". Un rapport de la Cour des comptes estimait en 2011 à 150 000 le nombre de personnes sans domicile fixe en France. Près de 40 000 d'entre elles – dont plus de la moitié à Paris – errent entre la rue et les centres d'hébergement d'urgence. Il existe pourtant des dizaines d'immeubles vides ou sous-occupés à Paris.

Couvents, abbayes, monastères, ... Le Canard enchaîné, dans son édition du 14 novembre, dresse la liste de tous les biens immobiliers de la capitale, plus d'une centaine au total, appartenant à des communautés religieuses et "le plus souvent aux trois quarts vides." Alors que "certains ordres ont transformé une partie de leurs murs en hôpital, en maison de retraite ou en foyer [...] d'autres ont cédé au démon de la cupidité et ont préféré vendre une partie de leurs terrains pour construire des résidences de luxe", relate le journal satirique, qui s'est lancé dans un pèlerinage pas très catholique.
Rue Gay-Lussac, dans le 5e arrondissement, les sœurs de l'Adoration ne sont plus que quatre, mais elles habitent toujours une vaste bâtisse et possèdent deux immeubles loués à des religieuses de passage à Paris. Dans la rue Notre-Dame-des-Champs, dans le 6e arrondissement, la poignée de sœurs du Bon-Secours possèdent encore près d'un demi-hectare en plein cœur d'un des quartiers les plus huppés de Paris. Leur couvent, placé sous surveillance électronique, accueille uniquement l'évêque des armées. Un peu plus loin, rue du Regard, l'ancien séminaire Saint-Sulpice héberge une vingtaine d'étudiants et des curés ou des prélats de passage dans la capitale. Questionné par le Canard enchaîné sur l'éventualité d'accueillir des personnes sans abri, un responsable écarte l'hypothèse : "Nous n'avons pas d'ascenseur et très peu de chambres avec salle de bains."
Quelques sœurs et pères des Sacrés-Cœurs-de-Jésus-et-de-Marie-et-de-l'Adoration se partagent, rue de Picpus, dans le 12e arrondissement, 2,3 hectares avec sept nonnes et une vingtaine d'étudiants, alors que "d'imposants bâtiments, quasi abandonnés, bordent la rue de Picpus et occupent l'intérieur du couvent." Rue Méchain (14e arrondissement), un monastère, s'étendant sur 1,6 hectare, à deux pas de l'Observatoire, accueille une trentaine de religieuses, les sœurs de Saint-Joseph-de-Cluny, qui louent vingt chambres à des catholiques pour des "séjours limités dans le temps."
Avenue Denfert-Rochereau (14e arrondissement), les religieuses de l'ordre de la Visitation occupent quant à elles 2,2 hectares, dont une partie des locaux a été louée à une faculté catholique. Les estudiantines se sont réservé une bâtisse pour leur usage exclusif. Dans le même arrondissement, quinze capucins de la rue Boissonade et dix-huit franciscains de la rue Marie-Rose "sont cantonnés dans des immeubles assez vastes pour héberger des régiments de gardes suisses", note Le Canard enchaîné.
Dans le 16e arrondissement, rue de l'Assomption, une dizaine de religieuses de l'Assomption occupe 1,1 hectare. Les responsables assurent que les locaux doivent rester libres pour loger des sœurs en provenance du monde entier. Comme dans un véritable hôtel, avec fiche de tarifs téléchargeable, une chambre simple (avec douche, WC et... wifi !) se loue 60 euros pour une ou deux nuits, et la maison d'accueil est mise à disposition pour des... séminaires et des formations. Enfin, avenue de Villiers, dans le 17e arrondissement, la trentaine de religieuses de l'ordre des Franciscaines-Réparatrices-de Jésus-Hostie habitent "dans plusieurs milliers de mètres carrés désespérément vides".
Le Canard enchaîné évoque enfin le terrain de 1 hectare des petites sœurs des pauvres situé Boulevard Murat, à deux pas du Parc des Princes, dont le bâtiment reste totalement inoccupé. "Les quelques travailleurs immigrés qui campaient sur place ont été priés [...] de reprendre leur baluchon", explique le Canard enchaîné. "Depuis une dizaine d'années, les sœurs souhaitent vendre leur propriété. Mais leur gourmandise a fait traîner les discussions en longueur. En 2006, une négociation avait failli aboutir avec le promoteur Cogédim et la Mairie de Paris, qui voulait construire sur le site des HLM [...] mais c'était sans compter sur les paroissiens du quartier, qui refusent les logements sociaux", et qui, avec de multiples recours en justice, ont fait échouer le projet.
Plus étonnant, le Canard enchaîné indique que l'industriel Vincent Bolloré, "qui réside à deux pas, dans la prestigieuse villa Montmorency, a pris la tête de cette étrange croisade. Aujourd'hui, il propose aux petites sœurs de reprendre leur propriété, mais en location, pour éviter le dépôt d'un permis de construire et, donc, l'obligation de prévoir une tranche de HLM".

Aucune organisation religieuse ne possède l’immense patrimoine de l’organisation catholique en France et dans le monde. La cupidité de cette organisation n’est plus a démontrer, voyez lourdes:
A LOURDES IL N’Y A JAMAIS EU D’APPARITION
Tous les travaux effectués le prouvent.
Chercheurs, Médecins, Journalistes et Ecrivains ont tous aboutis à la même conclusion. Lourdes se présente comme un vaste racket magique entre les mains de la secte romaine avide de richesse et de pouvoirs. Eau de Lourdes, croix de Lourdes. Tout y est présenté avec le label magique du miracle. Lourdes est le grand bazar de la secte romaine.
L’entreprise se double d’une usine a entretenir la superstition.
Voici l’exemple rapporté par le journal La croix du Vatican le 6/04/ 1967: « 2300 aveugles en pèlerinage à Lourdes »; Il n’y eu aucun miracle.
Bernadette Soubirou affirme t-on est sotte, est peu dire: Elle ne comprend rien à ce qu’on essaie de lui expliquer.
A Lourdes tout le monde jugeait Bernadette vulgaire et retardée. Si son Père alcoolique n’eut soufflé les apparitions à Bernadette, apparitions dont elle a toujours été la seule a voir, elle n’aurait joué à cette grotesque comédie.
Elle t-elle responsable ? Oh non, car c’est la secte romaine connue dans le monde entier pour ses tromperies qui entretient la superstition, sans cela Lourdes n’aurait plus aucune influence sur ses pauvres gens qui viennent ici pratiquer l’idolâtrie que le deuxième commandement de Dieu réprouve; Mais il est vrai que ce commandement comme d’autres, la religion catholique n’en tient pas compte. S’il existe une secte qui contredit de façon flagrante la vérité Biblique, c’est bien la secte catholique.
C’est une religion qui emmène tous ses adeptes en enfer, en les trompant sur le message Biblique.
Autres exemples de miracles a Lourdes le sept juillet 1963 Monseigneur (c’est comme cela que se font appeler les gourous de la secte) Donald Campbell en pèlerinage, meurt à Lourdes !
Un ingénieur Belge atteint de paralysie agitante, décida en accord avec son curé de se rendre à Lourdes. Il fût plongé dans la piscine et, ayant été pris d’un violent frisson, il dût revenir précipitamment chez lui ou l’on reconnut qu’il était atteint d’une pneumonie aiguë, dont il mourut trois jours après sa rentrée à son domicile. Cette pneumonie ne fût naturellement pas constatée par le bureau médical de Lourdes.

C’EST UNE LOURDE ESCROQUERIE !

9 avril 2012

Chez les pentecôtistes de Toulouse, on chasse le mal et on distribue son CV

Voici ce que décris un article de Rue 89 dans un "Temple" d'une l’Église évangélique à Toulouse:
" Certains l’appellent centre de contrôle automobile, d’autres l’appellent « le temple ». Planté dans une impasse toulousaine, ce hangar vide aux briques grises apparentes et sol de béton accueille, depuis novembre, une grosse centaine de fidèles évangéliques venus exorciser (littéralement) leurs démons.
Tous les mois, le Ministère de la puissance de l’évangile Bethel Toulouse (MPEBT) organise un week-end purgateur de trois jours. Pendant qu’une prophétesse pieds nus en transe et en sueur répand la parole du seigneur, d’autres ponctuent sa prestation d’« amen » et « alléluia »
Certains prient, crient ou se débattent, et perdent parfois connaissance, l’espace de quelques secondes, au contact de l’oratrice. Rien d’affolant, au contraire : cela veut simplement dire qu’ils ont été purgés du mal qui les habitait.

« On n’est ni des psys ni des gourous »

Le « commando de Jésus Christ », lui, veille au bon déroulement de la prédication. Armés de bibles et de bouteilles d’eau, ces quelques volontaires, pas plus de quatre ou cinq, parcourent les allées de l’église de fortune pour venir en aide aux fidèles.
« On n’est ni des psys, ni des gourous », affirme Yolande Asso, la responsable communication de l’« église ». Quelques instants plus tôt, Yolande, debout au premier rang, vomissait ses tripes dans un sac en plastique que lui tendaient ses coreligionnaires.
Un spectacle pour le moins saisissant, mais « c’est une souffrance bénéfique », nous rassure-t-elle, l’haleine chargée mais le sourire radieux. « Une délivrance, un peu comme un accouchement. »

Un protestantisme teinté de surnaturel

Les 120 fidèles qui viennent ici tous les dimanches sont pentecôtistes : ce sont des protestants qui ont pour particularité de mettre l’accent sur le surnaturel, les miracles et la guérison divine. Pourtant, loin d’être de grands illuminés, ces gens-là sont plutôt pragmatiques. Dans le sermon d’Alix, on parle du divin, mais aussi de découvert bancaire, de chômage ou encore d’accidents de voiture.
Ici, on se réunit aussi bien pour se libérer de ses démons que pour trouver du travail : les CV s’échangent et on fait appel à la générosité de chacun.
Cette communauté pentecôtiste, composée en majorité par des hommes et femmes d’origine ivoirienne, s’est formée naturellement autour de son pasteur et de sa prophétesse, Nicaise et Alix Dakouri. « C’est un schéma classique », explique Gérard Charton, directeur de la Fédération des églises chrétiennes évangéliques. « Ils viennent pour des raisons spirituelles mais aussi pour se retrouver entre eux, dans la tradition de leur pays. »

« L’esprit de Dieu prend le contrôle »


Alix est prophétesse depuis 2006. Son rôle : « Donner la parole de Dieu. » Autant vous dire que quand cette femme charismatique, tout de rose vêtue, se lance dans un sermon de près de deux heures, l’assemblée boit ses mots. Au son de sa voix, certains rient, d’autres pleurent.
Difficile pour elle d’expliquer ce qu’il lui passe par la tête dans ces moments-là : « C’est l’esprit de Dieu qui prend le contrôle. » Après le sermon, pendant qu’Alix mange et se repose, une femme s’approche et lui passe un jonc doré autour du poignet. Alix n’a pas l’air surprise : les fidèles lui font souvent des cadeaux.
S’ils lui vouent une telle admiration, c’est parce que la prophétesse, investie du pouvoir de Dieu, les aide à se déposséder de « leur mal ». Pour preuve, certains sont revenus témoigner de l’influence qu’a eue Dieu dans leur vie : problèmes de justice évaporés, succès financier et même, assurent-ils, séropositivité envolée.

Des cartes de membres permanents ?


La foi a pourtant ses limites. « Il y a des vrais miracles », assure Gérard Charton, avant de raconter qu’il a lui même failli perdre un œil avant de guérir subitement, à la grande surprise de ses médecins :
« “Mais il y a des fois où ça dérape un peu... Des gens qui prétendent être guéris, mais dont on doute qu’ils aient réellement été malades.”
Aux pieds d’Alix, les fidèles déposent des billets de 10, 20 ou 50 euros. Si “les évangéliques sont beaucoup plus généreux”, selon Gérard Charton, c’est “parce qu’ils sont conscients que l’œuvre doit progresser”.
Et progresser, l’église de Bethel Toulouse ne fait que ça, puisqu’en l’espace de quelques mois, elle a réussi à attirer des fidèles réguliers. A tel point que Yolande, la responsable communication, envisage de lancer des cartes de membre permanents. “Après tout, c’est un peu l’entreprise de Dieu”, sourit-elle."

8 avril 2012

Une jeune fille séquestrée et exorcisée par des Evangéliques

Selon le France soir du 13 mai 2011, quatre personnes membres d'un mouvement évangélique ont été placées en garde à vue jeudi pour avoir tenté d'exorciser une jeune fille de 19 ans à Grigny (91).
"Exorcisée de force, elle a véritablement vécu l'enfer. Une semaine durant, cinq personnes auraient séquestré une jeune femme de 19 ans dans un appartement de la Grande-Borne à Grigny (Essonne) dans le but de la « libérer du diable ». Membres d'un mouvement protestant évangélique, les tortionnaires lui auraient fait subir des scarifications, des sévices psychologiques et corporels. La victime a passé sept jours attachée, sans quasiment boire ou manger. C'est son père, informé de son lieu de captivité, qui a mis fin à son calvaire en prévenant la police. Elle a été retrouvée dans un état d'extrême faiblesse, mais ses jours ne seraient pas en danger.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la jeune fille ferait partie du même mouvement que ses ravisseurs, à savoir l’Église adventiste du septième jour et vivait dans l'appartement en question. Sur les cinq kidnappeurs, âgés d'une trentaine à une cinquantaine d'années et n'appartenant pas à la même famille, quatre ont été placés en garde à vue. Un mineur interpellé jeudi avec le groupe a depuis été remis en liberté. La jeune femme, elle, était toujours vendredi matin à l'hôpital.

Suite à ce fait divers, le pasteur de l’Église d’Évry, les responsables des deux Fédérations adventistes de France et le président de l'Union franco-belge des Fédérations adventistes se sont dits vendredi « consternés par l'attitude de ces personnes ». Le pasteur d’Évry a par ailleurs démenti connaître les exorcistes amateurs."

20 mars 2012

Le communautarisme rouge des banlieues

Dans les banlieues de la région parisienne des millions de citoyens français sont au prise avec le communautarisme, non pas seulement celui qu'on pense (islam, hindou...) mais un fléau beaucoup plus insidieux et tabou. Face aux problèmes de délinquance des citoyens sont désarmés non pas seulement en raison de la prépondérance de petits caïds qui dictent leur loi mais en raison d'un contexte bien prégnant et enraciné. Lequel?
   

Des gens ont peur de témoigner contre des auteurs de violence tout simplement parce qu'ils craignent des représailles et de se voir ainsi  mis au ban de la communauté de la ville 'prise en otage politiquement'...En effet les agresseurs sont souvent des proches des élus et votent et le font savoir et les victimes se taisent de peur d'être vilipendées et donc s’estiment en minorité ...
Dans la pratique les élus communistes achètent les voix des locataires en leur promettant un logement mais cela est à double tranchant: pour se maintenir ils sont obligés de leur faire des concessions en fermant les yeux sur leurs méfaits...selon de vieux procédés que l'on a vu dans d'autres pays. La police municipale a les mains liés, se trouve discréditée et n'est donc plus appelée.

Il ne reste plus que l'élu local qui fait office de 'bon-Dieu'; ceux qui vote pour lui sont bien reçu...

Celui qui n'est pas dans le coup est vite repéré et marginalisé; on ne le salue même pas...Des collègues m'ont confié qu'ils sont obligé de voter untel pour garder leur emploi...Les autres villes sont vues comme indésirables et il y a un certain racisme pour ceux qui ne sont pas né ici.
Les enfants à l'école sont envoyés en colonie dans des endroits que la ville possède; ils sont endoctrinés là bas. La médiathèque est riche en ouvrage sur Marx ou Lénine tout en pratiquant une censure et ce sont toujours les mêmes affiches rouges qui sont placardées. Les riches sont méprisés et les journaux municipaux véhiculent une propagande russe digne des années 50 .
Les élus sont de véritables gourous !
C'est ainsi que l'on crée du communautarisme
(Depuis 50 années c'est la même chose dans le croissant rouge; le PC fait 80 % quand dans le reste de la France il ne fait que 2 %...) .

C'est un grand mal contemporain et en même temps ce sont des milliers de personnes qui souffrent en silence sans que personne d'autres que les médias s'en préoccupe.Dans ce contexte de crise il faudra sans doute briser cette lourde chape d'omerta qui pèse dans ce genre de ville.