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26 septembre 2011

Appels à la haine en plein Paris lors de la prière interdite du 16 septembre 2011 !

A dater du vendredi 16 septembre 2011, les prières collectives et illégales de rue sont interdites en France. Cette grande première (interdire ce qui est illégal...) a-t-elle été suivie d'effet ? Voir la vidéo ci dessous:



Un des sympathisants de Riposte Laïque (avec lequel je n'ai aucun lien) a pu filmer dans le quartier Barbès, devant la mosquée Polonceau, les revendications de la rue contre la décision du Ministre de l'Intérieur. On a pu voir dans les rues de Paris des groupes de musulmans habillés en uniforme du Hamas et brandissant le drapeau du djihad, jusqu’à la caserne que l’État leur a offert afin qu’ils cessent de prier dans la rue.

Voici le témoignage d'un membre de "riposte laïque" sur les lieux:

"Les deux mosquées du 18ème arrondissement de Paris étaient closes aux "fidèles", et des panneaux indiquaient le nouveau lieu de prières, situé à l'intérieur de la caserne de la rue de la Porte des Poissonniers, (...)".

Devant la mosquée de la rue Polonceau, nous avons filmé les imprécations d'un fidèle,(...),suivi d'applaudissements.

Puis, nous nous sommes rendus à la caserne, entourés de groupes de musulmans vociférant des propos haineux, tels "Mort aux juifs !", certainement objets de futures poursuites judiciaires impitoyables de SOS-Racistes et autres ligues habituelles...

De légers heurts, heureusement sans gravité, se sont produits entre le service de sécurité, composé d'agents relativement âgés, et quelques salafistes aux couleurs du Hamas, criant au scandale et incitant à la violence.

Le calme rétabli, et la prière en plein air (donc illégale) de plusieurs centaines de participants terminée, tout ce monde s'en est allé, sans autre violence que parlée.

Selon des témoignages concordants, une prière de rue illégale et interdite s'est déroulée au même moment devant la mosquée fermée de la rue Myrha.

Il n'y avait, en tous cas, nulle présence policière visible, partout où nous nous sommes rendus."

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